Concert gala 2025 !

June 9 2025
Salle Claude-Champagne
10-20

Grand Gala Concert 2025 of the Joseph-François-Perrault School, featuring special guest appearances by Fanny Mallette and Claude Despins, two well-known artists from the Quebec theatre scene who will offer us a unique dramatic reading.

We are also thrilled to announce that Safia Nolin has once again agreed to join us this year, helping to make this evening truly unforgettable!

On the program: the JFP Symphony Orchestra, its rich repertoire, and its talented soloists!

Come and enjoy a selection of diverse musical works and support the young, gifted soloists of the orchestra before their upcoming trip to France — all under the direction of Éric Levasseur.

We look forward to seeing you one last time this year, and we wish you a wonderful concert experience!


Safia Nolin, figure singulière de la scène artistique contemporaine, incarne une voix politique
puissante. Son parcours est celui d’une quête identitaire, une exploration de la différence et de
la marginalité. En tant que femme racisée, lesbienne et artistiquement non conforme, elle défie
les normes et les attentes sociétales. Son esthétique, à la fois brute et poétique, est une
célébration de l’imperfection et de l’authenticité.


Dans son nouvel album, UFO RELIGION, Nolin exprime un sentiment d’aliénation profonde, un
désir de s’échapper d’un monde qui ne la reconnaît pas. À travers des mélodies minimalistes et
une instrumentation brute, elle livre une œuvre introspective, où se mêlent la mélancolie et
l’espoir. La nature, refuge et source d’inspiration, devient un personnage à part entière de cet
album, offrant un contrepoint à l’aliénation humaine.


Enregistré dans la nature, cet opus est empreint d’une urgence viscérale. Il témoigne d’un
processus de transformation, d’une renaissance artistique. Nolin, telle une chrysalide prête à
éclore, se libère de ses chaînes pour s’affirmer pleinement. Sa musique, à la croisée du folk, du
grunge et du stoner, est une invitation à un voyage intérieur, un appel à l’authenticité.


Claude Despins est un acteur qui œuvre tant au théâtre qu’au cinéma et à la télévision. Il est bien connu des enfants pour son rôle d’Azim dans la série jeunesse Toc, toc, toc et celui de Rodolphe dans L’appart du 5e. Il s’est fait connaître du grand public grâce à de nombreux rôles dans des téléséries à succès comme Les étoiles filantes, Aveux, Les hauts et les bas de Sophie Paquin, Vice caché, Les Bougon, c’est aussi ça la vie, Temps dur, Fortier 5, Grande Ourse, Mirador, Rock et Rolland, Toute la vérité, Malenfant, Prozac, District 31 et O’.

Claude est entre autres de la distribution des nombreuses saisons de la télésérie à succès Les pays d’en haut ainsi que de la plus récente série La Maison-Bleue.

Au cinéma, on l’a vu entre autres dans Funkytown (Daniel Roby), 1981 et Horloge biologique (Ricardo Trogi), Dans une galaxie près de chez vous (Philippe Gagnon), Familia (Louise Archambault), Le nèg (Robert Morin), Le bonheur des autres (Jean-Philippe Pearson), Tu dors Nicole (Stéphane Lafleur) et L’amour (Marc Bisaillon).

En plus du français, il maîtrise l’anglais et l’italien. C’est ainsi qu’il a joué dans le court-métrage Love & Volts, une production de Cirrus, et dans The Score.

Au théâtre, il demeure l’un des acteurs les plus prisés de la scène québécoise. Il a joué plusieurs fois sous la direction de Wajdi Mouawad, notamment dans Les trois sœurs, Rêve et Le littoral. Il a également été dirigé par Lorraine Pintal dans Le Tartuffe, Michel Monty dans Exodos et Trois dans le dos, deux dans la tête, Fernand Rainville dans Howie le rookie et Tu te souviendras de moi, Dominic Champagne dans L’Odyssée, puis André Mélançon dans Les Justes. En 2018, il joue de nouveau au théâtre La Licorne dans la pièce Bonne retraite Jocelyne.


Depuis sa sortie de l’École nationale de théâtre du Canada en 1998, Fanny Mallette n’a pas cessé de travailler. Jeune actrice en demande, elle a joué dans plusieurs pièces de théâtre, dont Dom Juan, mise en scène par Martine Beaulne, Danser à Lughnasa, mise en scène par Ben Barnes, et Cheech ou les hommes de Chrysler sont en ville, pièce de François Létourneau.

Elle a ensuite repris le rôle de Stéphanie dans le film du même nom, ce qui lui a valu le prix Jutra 2007 de la meilleure actrice de soutien. Nous avons également pu la voir dans Oreille, tigre et bruit d’Alexis Martin et dans Jeux doubles de Jacinthe Potvin, au Théâtre du Bic.

À la télévision, elle a participé à une quinzaine de productions, aussi populaires les unes que les autres : Scoop, Alys, Graffiti, Tag, Ces enfants d’ailleurs, Asbestos, Grande Ourse (prix Gémeaux 2006 de la meilleure actrice dans un rôle dramatique) et Nos étés.

Nous l’avons aussi vue dans 19-2, 30 Vies, O’ et dans la série Vertige de Patrice Sauvé, où elle tenait le rôle principal. Son rôle dans la série Mensonges lui a rapporté le prix Gémeaux de la meilleure actrice dans une comédie dramatique en 2014.

En 2016, elle a commencé à interpréter Mylène dans la télésérie Feux du réalisateur Claude Desrosiers. Elle fait également partie des distributions de Web thérapie, Hubert et Fanny et Toute la vie.

Le parcours cinématographique de Fanny Mallette témoigne de sa polyvalence. Elle a tenu des rôles dans Une jeune fille à la fenêtre de Francis Leclerc, La femme qui boit de Bernard Émond, Gaz Bar Blues de Louis Bélanger, Dans une galaxie près de chez vous de Claude Desrosiers, Les muses orphelines réalisé par Robert Favreau, Cheech de Patrice Sauvé, et Continental, un film sans fusil de Stéphane Lafleur, grâce auquel elle a été en lice pour le prix Génie du meilleur rôle de soutien en 2008.

Cette même année, elle s’est illustrée dans La ligne brisée de Louis Choquette et a collaboré de nouveau avec Patrice Sauvé en jouant dans Grande Ourse : le film.

Elle a également tourné dans Les 7 jours du talion de Podz, En terrains connus de Stéphane Lafleur, et Roche, papier, ciseaux d’Yann Lanouette-Turgeon. Ces dernières années, elle a été des distributions d’Arwad, Tu dors Nicole et Boost. En 2017, elle tient l’un des rôles principaux du film L’amour, réalisé par Marc Bisaillon.

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